|
| firmin/ living in a trailer by the interstate. | |
| | |
---|
Firmin Maynard-Grant + AGE : vingt-sept ans. + RUMEURS : 56 + LIVRES STERLING : 81 + DATE D'INSCRIPTION : 23/11/2014
| Sujet: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 16:01 | |
| | firmin maynard-grant « I'm turning up the volume when you speak, if my heart can't stop it I find a way to block it. »
|
house of lies « girls don't want a gentleman, they want a loser like me. » ― theory of a deadman, gentleman caractère Ϟ il déteste la neige, en hiver, il va dans des pays chauds. (+) il cligne très souvent des yeux lorsqu'il est entrain de réfléchir (+) tous les matins, il ne peut pas être opérationnel sans son verre de jus de fruits frais (+) avoir été adopté lui a permis de se renforcer très vite, devant être à la fois fort devant les autres et même imbuvable alors qu'il était un petit garçon adorable avec ses parents et les gens en dehors de sa caste (+) il mordille les branches de ses lunettes (+) il joue au moins une fois par jour au mini-golf dans son bureau (+) il aime se jouer des apparences, faisant croire qu'il est au dessus de tout et ses frasques ont marqué le New-York Times où, pour son dix-huitième anniversaire, il était sur un bateau remorqué à une voiture. (+) il se craque les coudes dès qu'il est nerveux. (+) tous les soirs, qu'importe la température, il se met sur le toit de n'importe quel immeuble et observe le ciel, même s'il ne voit rien à cause des lumières. (+) mélomane, il écoute de tout et joue de tout. Une vie sans musique ne vaut pas la peine d'être vécue. (+) dès qu'il est un peu trop énervé, un accent bizarre ressort, en plus de son accent américain, il a un accent de l'Est. (+) il prend toujours une boite de codéine avec lui, histoire de calmer ses migraines (+) il peut parler russe, bosniaque, français, italien et arabe. (+) bien qu'il soit bosniaque (musulman), cela ne l'empêche pas de boire et de fumer. Il n'a qu'un seul principe : ne pas manger de porc. Par contre, il aime beaucoup les cochonnes. (+) ses divers tatouages témoignent des différentes passions et étapes de sa vie, il en est assez fier. (+) il n'est plus jamais retourné en Bosnie. (+) c'est un gros fan de jeux vidéos, il pourrait passer sa vie dessus. (+) sportif, il aime à peu près tout sauf la course à pied, le tennis et le patinage artistique. (+) il déteste les relations stables et sérieuses, ça lui fait vraiment peur. (+) du coup, c'est un adepte du coup qui va bien et qui fait du bien. (+) loin d'être égoïste, il remercie toujours à la fin. (+) on lui prête beaucoup de rumeurs, comme quoi il aurait participé à des orgies et compagnie, mais il n'en est rien, il ne peut être l'homme que d'une seule femme, c'est juste qu'il n'a pas trouvé la bonne. (+) il a toujours besoin de s'occuper, du coup, il a toujours son téléphone dans ses mains ou il plie quelque chose, en bref, il est hyperactif. (+) il apparait comme imbu et hautain, ça l'amuse. (+) depuis qu'il est à Londres, il a du mal avec la bouffe anglaise. (+) il n'évoque jamais son séjour en prison. (+) encore objet de rumeurs, il préfère les prendre avec le sourire et mettre le nez dans les défauts des gens. (+) il est particulièrement protecteur envers les gens qu'il aime, n'hésitant pas à les couvrir de cadeaux. (+) il est devenu officiellement alcoolique à sa sortie de prison. (+) son chat Thor est la seule personne qui compte pour lui désormais. (+) sa mère ne lui adresse plus la parole et l'a rayé de sa vie, du moins, c'est ce qu'il pense. (+) on le dit milliardaire, il fait partie des dix plus grosses fortunes au monde. (+) lorsque quelqu'un est dans le besoin, il ne peut s'empêcher d'aller l'aider. (+) ce qui lui joue des tours, parfois les gens cherchent à abuser de lui ou du moins de sa fortune. (+) son rapport à l'argent est assez bizarre, ça ne le dérange pas de dépenser 1000 dollars enfin, livres sterling dans une journée ou dans une heure. (+) bien qu'honnête, il sait se montrer impitoyable quand son travail est concerné. (+) il passe le plus clair de son temps à travailler et joue les play-boy pour se divertir. (+) on lui répute un coeur de pierre. (+) il est hypersensible et le cache. (+) Londres le change et il vit cette ville comme un véritable tremplin vers une nouvelle vie. (+) il boit, beaucoup et même beaucoup trop. (+) c'est un grand fan de Céline Dion. (+) c'est ce qui l'inspire le plus pour rédiger ses rapports. (+) il adore le paddle, il en fait quand tout le monde se les gèle à Londres. (+) toujours très élégant, quand il n'a pas envie de faire d'effort, il a une bouche à tout perdre. (+) les apparences peuvent apparaître très importantes pour lui alors qu'il n'en a rien à faire. (+) il n'a aucun respect pour l'étiquette. (+) il ne se rase jamais de près, juste pour embêter les vieilles bourges adeptes de la peau de bébé. (+) son humour bien à lui est capable de vous faire fuir. (+) c'est un adepte des plats préparés même s'il aime cuisiner. (+) ses origines slaves et son éducation font de lui quelqu'un de très fier mais humble. (+) c'est tout un paradoxe à lui tout seul. (+) il aime plaire et se sentir apprécié, ça le flatte et il se sent bien, encore mieux si c'est sincère. (+) il n'est jamais tombé amoureux, il ignore tout ce que peut être l'amour pour une femme. Il n'a dit je t'aime qu'à ses parents adoptifs. |
|
|
| | |
Firmin Maynard-Grant + AGE : vingt-sept ans. + RUMEURS : 56 + LIVRES STERLING : 81 + DATE D'INSCRIPTION : 23/11/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 16:01 | |
|
gangsta's paradise open up my eager eyes cause I’m Mr Brightside. ― the killers, mr. brightside
chapitre un juillet 1993 – sarajevo, bosnie-herzégovine ;La guerre avait commencé il y a maintenant à un peu plus d'un an. C'était le jour le plus intense en bombardements. La ville était en cendres. Ma mère se demandait si un jour, cela allait bien finir. D'ailleurs, elle songea plusieurs fois à quitter la ville mais mon père, éternel indécis, remettait toujours son avis à plus tard. Et, à force, ce fut trop tard, les Serbes contrôlaient toutes les sorties, avec un blocus plus que drastique. Nous nous devions de sortir. La maison fragile dans laquelle nous étions ne nous garantissait aucune sécurité. Soudain, la sirène d'alerte à une attaque aérienne retentissa. Direction l'abris, où tout notre quartier soit une dizaine personnes, s'y était déjà empressé. Mon père courait le plus vite, ma mère me tenait la main, ce qui la ralentissait. Un obus éclata à quelques mètres de nous. Je m'en souviens comme si c'était hier. Il m'arrive d'en faire encore des cauchemards. Je l'entends crier mon prénom, une douleur indicible m'envahi. Et je tombe. J'ai froid, ce froid tellement mauvais et singulier qu'il en est devenu unique. Cette sensation, je ne l'ai jamais retrouvée. Puis, je vois flou, je n'entends rien, je distingue cependant le corps de ma mère inanimé et mon père, qui se jette sur elle. Mais c'est trop tard. La guerre l'a emportée. Il me voit respirer, difficilement et m'emmene dans ce fameux abris. Par chance, un médecin est là. Avec les moyens du bord, il tente quelque chose. « Comment s'appelle t-il ? » -« Alek.» -« Quel âge a t-il ? » -« Six ans, monsieur.» -« Alek, il va falloir être très courageux, t'es un p'tit homme fort toi, accroches toi.» Il me met un bout de bois dans la bouche, mon père me serre la main bien fort. Une pression telle que je ne pouvais pas partir, dans aucun des deux termes. Et je crie. Je crie comme je n'ai jamais crié. Je vois le bout métallique qu'il y avait en moi avant de perdre connaissance. Trois jours plus tard, je me réveille dans un hôpital. Mon père n'est pas là, il a plein d'autres enfants autour de moi. Tous blessés, dans un sale état. J'essaye de bouger, de me relever un peu mais une immense douleur me prend sur le côté droit. Je veux voir ce que j'ai, je veux voir mon père, je veux savoir ce qu'il se passe. Et personne ne dit rien. Un homme, âgé vient à mon chevet, c'est mon tour. « Qui es-tu ?» -« Alek, Aleksander Sergueïevitch Kasparov» -« Quel âge ?» Je compte sur mes doigts avant de répondre. «Six ans monsieur.» -« Tu viens d'où ?» -«Je sais pas.» -« Mettez-le quelque part avec les autres, l'orphelinat ne va pas tarder à faire son choix.» L'orphelinat ? Qu'est-ce qu'un orphelinat ? Et je ne suis pas du bétail. A côté de moi, un garçon plus âgé que moi me dit que je ne devrais pas le quitter, que désormais, nous allions être une famille. Mais j'ai déjà une famille et ma mère, et ma mère... Elle est morte. Mais j'ai toujours mon père, non ? Je ne comprends rien, je commence à m'agiter, je sens quelque chose couler et puis : le noir.
chapitre deux décembre 1995 - banlieue de sarajevo, bosnie-herzégovine ;« Alek, regarde il neige dehors !» -« Il fait froid.» -« Aller viens, regarde, on va s'amuser dans les arbres !» -« Ca glisse.» -« Bon, quand t'auras fini de faire ton rabat-joie, ramène ta fraise.» -« Pazite, Snajper ! » Il se retourne et s'en va en courant. Je rigole, j'ignore ce que signifie vraiment cette phrase. Elle parle de faire attention à des tireurs isolés. Mais je comprends tout de même qu'elle a un sens fort. Noël était passé, il neigeait. Je n'aimais pas la neige. Je n'y trouve aucune forme d'amusement ou même d'excitation quelconque. C'est juste de l'eau, glacée. Chaque flocon me rappelle la pluie de tirs, et le froid qu'il entraîne. Et j'en ai peur. Je reste appuyé sur le rebord de ma fenêtre et je les regarde. Ils sont heureux, ils vivent même si, au fond, tous souffrent. Peut-être que je devrais en faire autant... Mais je n'y arrive pas, je n'y arrive plus. Cela remonte pourtant à deux ans, mais tant que je n'aurais pas quitté ce pays, jamais je ne pourrais avancer. La guerre est finie, c'est l'aube d'un nouveau siècle mais je n'y prête aucune attention. Ce qu'il me faut pour avancer, c'est partir. J'étais jeune mais je savais déjà ce que je voulais. Je n'avais pas des rêves pleins la tête, mais bien qu'un seul : partir. Tomislav, mon frère, n'était pas d'avis avec moi. Il faut dire que, depuis l'hôpital où nous nous étions rencontrés, partir et être séparés, c'était inconcevable. Quelqu'un frappe à la porte, cela me sort de mes pensées. « Pourquoi n'es-tu pas dehors, avec tes petits camarades ?» -« Il fait froid, madame.» -« Quel enfant poli, va prendre l'air un peu, les parents ne vont pas tarder, c'est peut-être ta dernière journée ici ! » Je me retourne, remets mes manches correctement et fais une tête boudeuse puis, un sourire se dessine sur mes lèvres. Elle me tire la langue et je ris. « Oui, madame. Je vais jouer dehors... Mais je suis un homme, je ne suis pas un enfant ! Attention ! » Elle lève les yeux au ciel et me pousse vers la sortie en ricanant. J'essaye de la freiner, mais en vain. J'aimais bien m'amuser avec Sarà, c'était un mélange de maman, et d'une soeur mais le protocole était clair, il fallait appeler les dames, madame et les messieurs, monsieur. Je suis sur le pas de la porte, j'observe. Puis, je reçois une boule de neige sur le visage. C'est Tomislav. Je lui fais un regard meurtrier avant de ramasser de la neige et de lui courir après. Je m'amusais bien. « Tu m'attraperas jamais Alek, t'es trop lent ! » -« Et toi, t'es trop grand ! » Il regarde devant lui et se prend la branche de plein fouet. Il tombe, et je me mets à rire en lui jetant de la neige. Je le recouvre et il m'entraîne sur lui, en me chatouillant. Je me débats, mais rien à faire, il a plus de force que moi. « Les garçons ! » Tomislav et moi nous retournons, c'est la madame Moustache. Ne cherchez pas à savoir, elle a toujours été appelée ainsi, tellement que même le directeur ne se souvient plus de son vrai prénom. Il faut dire que son surnom est assez explicite et plus que bien attribué quoique... Peut-être que madame la barbe ou barbe noir pouvait tout aussi correspondre. « Les parents sont là, arrangez-vous un peu, bande d'idiots sans cervelle ! » Un regard complice et nous explosons de rire. Si une personne devait s'arranger, c'était bien elle. Une fois à l'intérieur, on nous met en ligne, je ne quitte pas mon grand frère. Des parents, parlant une langue étrangère nous regarde. Tomislav me souffle, qu'on est presque au marché. Je ne peux m'empêcher de sourire. Une femme, au visage doux s'approche de moi. Elle me parle, mais je ne comprends pas. Un homme la rejoint, cela doit être son mari. Je les regarde, d'une manière innocente et curieuse. Et, je détourne mon regard vers Tomislav, d'un air interrogateur. Mais lui, il sait ce qu'il va se passer. Il sait beaucoup de choses et moi, presque rien. Je lis dans ce regard comme un déchirement. Une main me pince la joue, je tourne ma tête. C'est l'homme. Ils m'emmènent et j'essaye d'attraper la manche de mon frère. Il se fait, à son tour, emmener et me laisse. J'ai les larmes qui me montent aux yeux mais je ne pleure pas car je suis un homme.
chapitre trois décembre 2007 – new-york city, états-unis ; « Bonjour, merci de nous avoir choisi pour votre réveil, espérons que ce Theory of a deadman vous a permis de bien démarrer la journée ! » -« Oh ta gueule... » J'appuie sur un bouton pour arrêter ce fichu radio-réveil puis me tourne dans l'autre sens. C'était le premier jour des vacances, et je comptais bien me réconcilier avec mon lit et mon oreiller, toute la journée. Je soupire puis referme les yeux, sachant pertinemment qu'à mon réveil, j'aurais un mal de crâne énorme. Se réveiller, se rendormir, cela me donnait des migraines, à moins que cela soit du à cette soirée encore bien trop arrosée... Je m'endors à nouveau, faisant le vide. Quelqu'un frappe à la porte, je me mets à râler, à bafouiller des mots bosniens pour finalement me taire et laisser la personne entrer dans mon antre. Ma mère, qui passe sa main fraîche sur mon dos presque brûlant. Je me retourne vers elle, en lui souriant. « Bonjour, oh un ange. » Elle rit, de ce même rire mélodieux -« Quel charmeur, allez mon chéri, tu avais promis à ton père d'aller au bureau pour mettre un peu d'ordre dans ses affaires. DEBOUT ! » -« Crie pas... Je me lève, laisse moi encore cinq minutes, c'est les vacances...» -« Tu as trente secondes, top chrono.» Elle part en rabattant légèrement la porte. Le pire, c'est qu'elle ne plaisantait pas, j'avais trente secondes pour sortir du lit. Sinon, je savais ce qu'elle allait faire. Ouverture des fenêtres, enlèvement de la couette et résultat, je finis congelé. En été, cela n'était pas du tout dérangeant mais en hiver... J'ai beau venir de Bosnie, cela remonte à pas mal d'années maintenant. « FIRMIN, plus que dix secondes, dépêche toi ! » -« Roh... » Je me baladais en short, d'un pas nonchalant et j'entendais ma mère râler. Cela m'amusait, j'aimais bien l'embêter un peu. A peine le temps de m'assoir, mon portable vibrait. C'était mon père. « Je t'attends depuis vingt minutes, du mouvement l'endormi. » Il me raccrocha au nez. J'avalais en un éclair mon jus de fruits frais puis direction la salle de bains. Je m'habillais, me lavais. Je devais avoir l'air plus que présentable, ne serait-ce que pour représenter ma famille. Je leur devais beaucoup et ceci n'était rien. J'avais toujours tout fait pour être irréprochable sur le plan physique, je parle. Bon, il faut avouer que je les respecte énormément, et ce sont bien les seuls. Voilà pourquoi est-ce qu'ils sont étonnés de voir comment je me comporte avec mes amis, ou même les inconnus. Je mis une chemise claire, une cravate rouge et une sorte de costume foncé, noir. J'avais l'air d'un homme d'affaire, ma mère ne cessait pas de me le répéter. Soudain, quelqu'un sonna à la porte. J'espérais que cela n'était pas Sterling, ou sinon j'allais avoir droit à une sérieuse engueulade ? J'ouvre la porte, un facteur. Ma mère arrive et le regarde. « Bonjour, j'ai une lettre pour Firmin Maynard-Grant, en recommandée. Une signature s'il vous plait. » -« Merci cher monsieur. » Je signe et le regarde avant de détourner mon regard vers ma mère. -« C'est fou ce que vous vous ressemblez, telle mère, tel fils ! » Un sourire se dessina sur nos lèvres, il me donna la lettre puis remercia l'homme. La lettre venait de Bosnie. Emily vit bien que quelque chose me perturbait. « Qu'est ce qu'il y a mon chéri ? » Je reviens à moi un instant en faisant un sourire, ce sourire que l'on fait pour dire que tout va bien lorsque, au fond de soi, on était ailleurs au plus profond de nos interrogations. Oui, ce sourire là. -« Oh rien, je vais être en retard. A ce soir m'man. » Un baiser sur sa joue et me voilà parti pour le centre ville, direction le bureau de mon paternel adoptif. J'avais toujours cette mystérieuse lettre, que je n'osais ouvrir. Travailler allait me permettre de me changer les idées. Au bout d'environ vingt minutes en voiture, je fus devant l'immeuble Grant Enterprise. « Bonjour Gemma, toujours aussi belle. Le boss est toujours dans son bureau ? » -« Bien sûr, il vous attend Monsieur Grant. » -« Appelez moi Firmin, s'il vous plait... » Un clin d'oeil et me voilà dans les escaliers, à monter toutes les marches, jusqu'au cinquième. A partir de là, pas le choix, je me devais de prendre l'ascenseur. Heureusement, il était vide. Jusqu'au onzième étage, je n'avais cessé de regarder cette lettre, sans pour autant l'ouvrir et, lorsque mon doigt commençait à déchirer l'enveloppe, la sonnerie se fit entendre, les portes s'ouvrirent. Je la range au plus vite et affiche un sourire désinvolte. « Bonjour père, comment allez-vous ? Désolé de mon retard... » -« Arrête de batifoler un peu fils et viens ici, j'ai un problème, tu as donc du travail. » -« Ouep p'pa, je vais t'aider, ne t'en fais pas. J'suis superman. » Je me mis à rire en travaillant, sous le regard dépité de mon paternel. « Bon, inutile de te mentir plus longtemps. Je dois t'avouer que les affaires de la société sont au plus bas. Les huissiers exécuteront des saisies dès le mois prochain si nous ne redressons pas la barre...» - « Quoi ? Pourquoi tu ne m'en as pas parlé plus tôt ?! Un mois redresser une entreprise, certes on connait de bons économistes et je pourrais faire des choses pour améliorer le redressement mais... Regarde enfin tous les comptes sont normaux, je ne comprends pas. » Je n'eus même pas le temps de réfléchir, qu'il embraya sur les explications. - « Justement, ne t'inquiètes pas ! Un généreux financier, tu sais, Salieri, nous a avancé l'argent et tout va aller mieux, nous allons tout arranger, ne t'inquiètes pas.» Je le dévisageais, tout cela, c'était presque cauchemardesque. Nous ne pouvions pas tomber aussi bas. - « Salieri ? Tu as bien dit Salieri ? Cette famille est une des des plus anciennes de la mafia sicilienne et toi, tu vas faire des affaires avec eux ? Je n'en reviens pas ! Dire que tu parlais d'intégrité... Elle est vraiment parfaite, ton intégrité. Faire appel à des mafieux pour t'aider au lieu d'en parler à ton fils ou même à tes conseillers ? » Je m'emportais dans un discours inutile, je le savais, je le voyais dans ses yeux. Cet air coupable, mais complètement faux en réalité, je le savais, j'en avais plus ou moins hérité. - « Pour qui tu te prends ? Tu ne sais rien de la vie et tu me tiens un tel discours ! Pour qui te prends-tu, hein, tu ne serais même pas là si ta mère n'avait pas insisté pour que nous adoptions et c'est ainsi que tu me remercies ?! » Je ne dis rien, amère, un homme entre dans le bureau. Il est vêtu d'un imperméable noir et d'un chapeau, qu'il enlève avec distinction et élégance. - « Bonjour messieurs, on travaille dur à c'que je vois... C'est bien. Quel est le problème ? » - « Oh monsieur Salieri, quel joie de vous voir, mais il n'y a aucun pro...» - « Oh si il y en a un. Je suis parfaitement au courant de vos affaires Salieri, y'a que l'autre là qui est pas au courant. Les disparitions inexpliquées, trafics en tout genre... Je ne veux pas avoir quelconque rapport avec vous et votre famille de mafieux.» Je n'avais pas réfléchi et c'est ainsi que je me retrouvais à tourner le dos à mon père et à claquer la porte du fameux bureau. J'étais dans un tel état de colère que ces paroles m'avaient échappées, que je n'avais même pas pris la peine de faire mon numéro habituel auprès de la standardiste, il fallait que je sorte, absolument. Une fois dehors, j'avais cette drôle et désagréable sensation, d'être surveillé et suivi. En prenant les clés de ma voiture, me disant que l'option taxi était la plus appropriée étant donné la situation, je vis deux hommes en noir derrière moi, qui s'approchaient dangereusement. Direction Central Park, avec ses grands espaces verdoyants dans l'acier de la Grosse Pomme, je n'avais rien à craindre. Je me pose en me disant que cela leur passera... Je me cache derrière un arbre, penche la tête sur le côté avant de m'allumer une cigarette, fier de moi. Soudain, une main me plaque contre l'arbre, je reconnais à peine l'odeur du chloroforme avant de ne me souvenir de rien. Il faisait froid, très froid même. A mon réveil, je suis assis sur une chaise, les mains liées. Je commence à m'agiter et à parler fort. Un homme arrive, je lui fonce dessus avec ma chaise, son collègue essaye de me calmer mais en vain. Un bon coup de poing au visage et je me sens quelque peu étourdi. Il m'en met un deuxième, puis trois, puis quatre et je tombe à terre en sentant une de mes épaules craquer, je lâche un cri. « Merde, c'était pas prévu ça.. Alors, tu fais moins l'malin avec les mafieux hein ? C'est un cadeau de Salieri, enfin non, un aperçu... Il fait un clin d'œil, je ne compte plus les coups et il finit par s'en aller. Je reste ainsi, à tâcher de me redresser et j'y arrive. Étrangement, je parviens à défaire mes liens, la porte est ouverte. Je prends mes affaires et pars en courant, du moins, j'essaie de courir. Je n'avais jamais eu aussi peur de toute ma vie... Quelques pas plus tard, dans la rue, un groupe de policier surveille la rue. Je me précipite vers eux. « Oh enfin des gens honnêtes, s'il vous plait aidez-moi, j'ai été agressé et...» - Attendez, Firmin Maynard-Grant ? - « Oui ! c'est ça, c'est moi ! Soulagé, j'étais enfin rassuré de tomber sur des personnes compétentes. Peut-être avais-je pensé trop vite. - « Très bien, je vous arrête pour le meurtre de Mr Sterling Grant, tout ce que vous direz pourra et sera utilisé contre vous lors du procès.» - « Quoi ?! P'pa ? Non mais arrêtez c'est du délire ! Il est mort ? Non je rêve mais là.» Le policier me menotte, je me retrouve dans une voiture de police, accusé d'un meurtre, du meurtre de mon père adoptif. Je voulais me réveiller, cela ne pouvait être qu'un cauchemar, un affreux cauchemar, pourtant la douleur était réelle, je sentais bien la pression des menottes sur mes poignets, et la tristesse à l'idée d'avoir perdu mon père adoptif. Une fois au commissariat, je sens mon portable vibrer dans ma poche. C'était ma petite-amie qui m'envoyait un message. « J'ai besoin de te parler, tu me manques. ». C'est un message auquel je ne répondrais jamais.
chapitre quatre janvier 2011 – rykers island (new-york), états-unis ; J'ouvre enfin les yeux, et ne reconnais rien. Où est-ce que je suis ? Non mais... Qui je suis ? Je tourne ma tête brusquement, je sens une douleur me prendre au cou. « Hé petit, calmes-toi... T'es dans un sale état mais ils vont payer, t'inquiètes pas. » Qui va payer ? Et quoi ? Et qui est ce vieux schnock qui me parle comme si j'étais son fils ? Sérieusement, c'est pas parce qu'il a le triple de mon âge que je suis forcément son fils ! « Excusez-moi mais.. Qui êtes-vous ? Et.. Où sommes-nous ? Qui je suis... » L'infirmière tire le rideau, l'homme aux cheveux blancs se tourne vers elle en dodelinant de la tête. Je l'entends murmurer qu'il n'y a aucun progrès. Progrès de quoi ? Un homme en costume trois pièces approche, il a une allure distinguée, cela doit être quelqu'un d'important, ou pas. Je me mets alors à somnoler. « Bonjour Everett, comme tu vois, le petit vient juste de se réveiller. T'es le directeur de cette prison, tu dois agir, ou je le ferais. » -« C'est F.. » Mes yeux s'ouvrent, j'apporte mon attention à leur conversation. « Firmin Grant ? » Mon sourcil s'arque, ce nom me dit quelque chose. -« Excusez-moi, je m'appelle comme ça ? » L'infirmière tira le rideau brusquement. Je ne comprenais décidément rien. -« Messieurs, il a subi un grave traumatisme, vous pourriez aggraver son état. Nous devons attendre les directives du docteur, veuillez le laisser maintenant, il doit se reposer. »
quelques mois plus tard.
« D'accord, je vais essayer de répéter, sans rien oublier.. Je m'appelle.. Firmin, Firmin Maynard-Grant. Je suis né, euh, à Sarajevo ? Le premier mai mille neuf cent quatre-vingt...sept ? J'ai été adopté par Sterling et Emily. Je suis né, non je l'ai déjà dit.. On est le quatorze mai deux mille neuf, à la prison de Rykers Island, à New-York. Vous êtes le docteur Reynolds. Je suis ici parce que j'ai tué mon père adoptif, mais je ne me souviens pas pourquoi... » L'infirmière vint nous interrompre, le docteur et moi. -« Nous devons vous retirer vos points. Levez-vous et baissez votre pantalon s'il vous plaît. » Gêné, je ne savais pas d'où venait cette blessure enfin, comment j'avais pu me faire ceci. La confusion règne entre l'infirmière et son médecin. J'attends qu'elle m'ôte mes points pour me tourner vers eux en me rhabillant aussi vite. « Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ? » L'infirmière ne semble plus pouvoir attendre, elle ne peut plus s'empêcher de retenir sa langue. -« Vous ne vous souvenez pas ? Dans les douches ? Vous êtes tombé. » Je me mets à rire nerveusement, pensant à une mauvaise blague. A leur tête ceci n'est pas une blague. Je m'écroule, les larmes me montant aux yeux. Je n'ai pleuré que deux fois dans ma vie : à la mort de mon père adoptif, que j'avais assassiné, et à ce moment précis. Je n'étais rien, je voulais me tuer, en finir avec cette vie. Plus rien ne me retenait après tout, je n'étais qu'un débris. Hystérique, je me mis à crier, refusant l'indéniable vérité. C'était, à mon sens, la pire humiliation que quelqu'un puisse subir. Je me remémorais alors les paroles de Léo, ces gens-là allaient payer, coûte que coûte. Je ne donnais pas cher de leur peau. En attendant, mes ardeurs se virent calmées par une piqûre de tranquillisant. A mon réveil, je fus incapable de prononcer un seul mot. Je ne me souvenais même de rien, complètement de rien du tout. Lorsque j'essayais de me souvenir, mon cerveau semblait bloquer toute possibilité de retrouvailles avec mon passé. Il ne devait pas être si glorieux que cela.
chapitre cinq décembre 2013 – new-york, états-unis ;Deux ans plus tard. C'était la veille de Noël, et de nouvelles preuves venaient m'innocenter du crime que je pensais avoir commis. J'avais passé mes six dernières années dans une des universités les plus strictes et les plus comment dire, des plus isolantes du monde. Je ne me souvenais de rien. C'était tellement frustrant, mais rassurant dans le sens où l'Histoire avait bien montré que nous étions plus heureux dans l'ignorance. Le grillage s'ouvre, je n'ai qu'un sac en papier, ma chemise devenue grise, peu adaptée à ma nouvelle musculature et par endroit rouge, mon jean troué. Un vrai taulard non ? Personne ne m'attend à ma sortie, cela n'est pas plus mal. Je décide de marcher, de faire la promenade de la liberté. Je n'ai plus la force de sourire mais pourtant, je suis heureux, heureux de voir que la justice finit par ouvrir ses yeux enfin. Quatre ans, c'est long mais bon, je me réconfortais en me disant qu'il valait mieux tard que jamais. Je regarde dans mon sac en papier, il y a toute ma vie dedans. Mes cartes de crédit, ma montre, ma bague, ma chaîne ainsi que mon portable, ainsi que la lettre que je n'ai jamais ouverte. Je présume alors être riche, très riche. Ce sont des effets personnels. Et puis je finis par me dire que je ne manque à personne, que je suis bien seul dans ma vie. Dans une des deux lettres, celle que j'avais ouverte -la plus récente - était la lettre d'une mère à son fils, probablement la mienne. Il y a une adresse, automatiquement, mon bras se lève, un taxi s'arrête. Je savais, par on ne sais quel moyen, que je devais m'y rendre. Il s'agissait visiblement d'une maison, de la maison familiale Abandonnée, en friche, déserte. « Qu'est ce qu'vous faites ici ? » -« Je cherche euh... Emily Grant, habite t-elle toujours ici ? » -« Non non, la pauvre femme s'en est allée en voyage et nous n'avons plus aucune nouvelle depuis deuuuuuuuux ans maintenant. Euh.. Vous êtes ? » -« Je n'en sais rien, excusez-moi... » -« Attends, elle t'a laissé ça, fais-en bon usage petit. » Il me tend une enveloppe comprenant un numéro de compte, un billet d'avion et une correspondance pour la ville de Londres, dans le Maine, ainsi que quelques mots doux avec quelques instructions, pistes. . Oui, c'est stupide de laisser des directives à un inconnu... J'allumai mon portable et vis les messages que j'avais pu recevoir. Un numéro redondant n'avait cessé de m'envoyer des messages plus ou moins d'amour, pour au final, rompre avec.. moi ? Je me décidai à prendre rendez-vous avez cette personne, elle pourrait certainement m'aider à en savoir plus. Je lui donnais un lieu, une heure, espérant qu'elle ait conservé ce numéro. Je n'y croyais pas vraiment, jusqu'à ce que le portable vibre, m'échappant des mains. Hé merde, j'ai vraiment deux mains droites -oui, c'est ce qu'on dit lorsqu'on est gaucher... Je partis pour Central Park, en chemin, je vins mon nom sur un immeuble de Manhattan, j'étais ébahi devant cette découverte ! Des sortes de flash vinrent cependant amoindrir mon euphorie, de puissants maux de têtes m'envahirent. « Hayley ? » Dis-je en pensant avoir reconnu la jeune femme : elle me regardait depuis une dizaine de minutes. Elle avait un beau gros ventre et l'air dépitée, comme si elle venait de voir un mort. -« Firmin.. Non, ce n'est pas possible, où étais-tu ? Et enfin pourquoi tu m'as ignorée pendant quatre ans ? Je fin c'est trop tard, j'ai refait ma vie, et j'vais, enfin j'vais avoir un enfant. C'est trop tard. T'as pas le droit d'être là. » -« Attendez, je m'appelle Firmin, et j'aimerais savoir si vous pouviez m'aider ? Il semblerait que nous nous connaissions, mais je fin, j'ai perdu la mémoire..» -« Non Firmin, tu ne me feras pas ce coup, c'est fini. J'attends un enfant putain ! Au revoir, refais bien ta vie, j'ai fait la mienne, ne joue plus. » Je ne jouais pas... Et franchement cette situation était vraiment étrange. Pourquoi était-elle partie de cette façon ? Si je lui avais manqué, elle aurait pu m'aider non ? Où alors étais-je un monstre d'égoïsme, fils à papa, prenant les filles pour des objets ? Oh je n'en savais rien et trop y penser ne faisait qu'aggraver mes migraines. Carpe Diem, tu connais Grant ? Ben, passe de la théorie à la pratique.
chapitre six octobre 2014 – londres, royaume-uni ;Nerveux, je me tenais droit, presque dépourvu de toute mollesse possible dans le corps humain. Je n'avais qu'une seule envie, c'était de pouvoir fumer et boire un bon cognac. J'étais de retour en piste, dans les affaires, célébrant l'ouverture de la filiale Grant Enterprise à Londres. Nous nous étions diversifiés, proposant à ces british autre chose que de la Jelly ou du pudding. Non, nous ouvrions notre filière pour atteindre le marché européen de l'industrie des armes et des matières précieuses. Non, il n'y avait pas de diamants sur les crosses de nos fusils mais c'était nos deux secteurs de prédilection. Ma mère ne m'adressait plus la parole, elle devait probablement être à Cuba, pour se changer les idées avec un bon gros cigare cubain. Sans métaphore. « Souhaitons bonne chance à notre nouveau PDG, c'est son retour après une absence assez remarquée, Firmin Maynard-Grant ! » J'avais l'impression d'être une nouvelle attraction, une bête de foire et les journalistes de Forbes n'allaient pas me louper. Alors que j'osais enfin franchir un pas dans la lumière, le silence se fit, vite contrasté par les murmures et les ragots. Non, je n'avais pas pris deux cent kilos de muscle, non je n'étais pas percé de partout. J'avais des tatouages, mais ils étaient cachés par ce costume trois pièces. Je me posais sur les marches du présentoire, goûtant à mon verre d'eau comme s'il s'agissait du plus délectable des Bordeaux. « Je voudrais vous remercier tout d'abord d'être venus, asseyez-vous je vous en prie. J'aimerais remercier les actionnaires et mon cerveau assez brillant pour les avoir convaincus. Les valeurs de Sterling, elles ont été transmises et sont dans chacun d'entre nous. Il n'y a plus qu'à les communiquer ici et dans le reste du monde. Au fait, servez-vous, tout champagne qui ne sera pas fini sera déduit de votre paye donc profitez. Merci encore et bonne soirée. » Je me lève, arrangeant ma veste, avant de repartir sous les applaudissements et certains regards béats. Ce n'était pas tout, une mannequin suédoise m'attendait pour le premier gala de ma nouvelle vie.
|
| | |
Sullivan Rhys + AGE : trente cinq ans. + RUMEURS : 42 + LIVRES STERLING : 97 + DATE D'INSCRIPTION : 23/11/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 16:02 | |
| WESH ICI AUSSI ON VA POUVOIR CHANTER CELINE Bienvenue petit padawan |
| | |
Robyn V. Powell + AGE : 24 ans + RUMEURS : 583 + LIVRES STERLING : 269 + DATE D'INSCRIPTION : 20/10/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 16:04 | |
| Bienvenue parmi nous J'adore le pseudo, et l'avatar me semble prometteur Bon courage pour ta fiche et si tu as besoin d'aide, n'hésites pas ! N'oublis pas de MP ton secret à London Eye afin qu'on puisse te torturer |
| | |
Firmin Maynard-Grant + AGE : vingt-sept ans. + RUMEURS : 56 + LIVRES STERLING : 81 + DATE D'INSCRIPTION : 23/11/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 16:05 | |
| La reine des falafels + JE SAIS LES HIVERS, JE SAAAAAAAAAAAAAAAAAAAIS LE FROID Merci beaucoup, t'es bonne en blonde Robyn + merci beaucoup, t'es pas mal non plus tu sais Je le fais de ce pas |
| | |
B. Feather Underwood + AGE : elle a vingt deux ans. + RUMEURS : 583 + LIVRES STERLING : 118 + DATE D'INSCRIPTION : 11/09/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 22:24 | |
| |
| | |
J. Grace Henessy + AGE : 26 ans et toutes ses dents + AGE : 32 + RUMEURS : 1115 + LIVRES STERLING : 465 + DATE D'INSCRIPTION : 11/09/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 22:28 | |
| BIENVENUE CHOUCOU ET BON COURAGE POUR TA FICHE !!! T'es toujours trop sexy pour mon propre bien Mais, je veux un rp vu le lien de fou qu'on va avoir Si tu as besoin de quelque chose, n'hésite pas à me harceler |
| | |
Molly V. Pierce + AGE : 26 Ans + AGE : 39 + RUMEURS : 97 + LIVRES STERLING : 77 + DATE D'INSCRIPTION : 23/11/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 22:28 | |
| |
| | |
Firmin Maynard-Grant + AGE : vingt-sept ans. + RUMEURS : 56 + LIVRES STERLING : 81 + DATE D'INSCRIPTION : 23/11/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 22:31 | |
| Feather +merci beaucoup jolie brune Epiphanie + merci à toi hé fallait bien que je te fasse honneur hein, autant faire les choses biens et je te réserve mon premier rp, sans faute et ça va promettre ma petite Molly + merci |
| | |
J. Grace Henessy + AGE : 26 ans et toutes ses dents + AGE : 32 + RUMEURS : 1115 + LIVRES STERLING : 465 + DATE D'INSCRIPTION : 11/09/2014
| | | |
Firmin Maynard-Grant + AGE : vingt-sept ans. + RUMEURS : 56 + LIVRES STERLING : 81 + DATE D'INSCRIPTION : 23/11/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 22:36 | |
| Hé me mets pas la pression toi, faut que le soufflet monte d'abord |
| | |
J. Grace Henessy + AGE : 26 ans et toutes ses dents + AGE : 32 + RUMEURS : 1115 + LIVRES STERLING : 465 + DATE D'INSCRIPTION : 11/09/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 22:37 | |
| |
| | |
Firmin Maynard-Grant + AGE : vingt-sept ans. + RUMEURS : 56 + LIVRES STERLING : 81 + DATE D'INSCRIPTION : 23/11/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 22:38 | |
| Je te mets au défi de le faire |
| | |
Sullivan Rhys + AGE : trente cinq ans. + RUMEURS : 42 + LIVRES STERLING : 97 + DATE D'INSCRIPTION : 23/11/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 22:40 | |
| Si Firmin est comme Wade, on en a pour environ une quinzaine de rp |
| | |
J. Grace Henessy + AGE : 26 ans et toutes ses dents + AGE : 32 + RUMEURS : 1115 + LIVRES STERLING : 465 + DATE D'INSCRIPTION : 11/09/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 22:40 | |
| |
| | |
Firmin Maynard-Grant + AGE : vingt-sept ans. + RUMEURS : 56 + LIVRES STERLING : 81 + DATE D'INSCRIPTION : 23/11/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 22:42 | |
| Sully + c'est un peu l'opposé de Wade à ce niveau là Grace + en privé ? intéressant |
| | |
J. Grace Henessy + AGE : 26 ans et toutes ses dents + AGE : 32 + RUMEURS : 1115 + LIVRES STERLING : 465 + DATE D'INSCRIPTION : 11/09/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Dim 23 Nov - 22:45 | |
| Oui |
| | |
Molly V. Pierce + AGE : 26 Ans + AGE : 39 + RUMEURS : 97 + LIVRES STERLING : 77 + DATE D'INSCRIPTION : 23/11/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Lun 24 Nov - 6:59 | |
| |
| | |
Gadreel M. Oswald + AGE : Vingt-neuf ans. + AGE : 30 + RUMEURS : 78 + LIVRES STERLING : 81 + DATE D'INSCRIPTION : 22/11/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Lun 24 Nov - 16:52 | |
| ce prénom je te vénère sérieux, le perso' a l'air excellent bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche |
| | |
Firmin Maynard-Grant + AGE : vingt-sept ans. + RUMEURS : 56 + LIVRES STERLING : 81 + DATE D'INSCRIPTION : 23/11/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Mar 25 Nov - 20:46 | |
| Molly + merci (encore) Gadreel + que dire du tien et puis ce choix d'avatar ! Merci beaucoup, je viendrais quémander un lien |
| | |
J. Grace Henessy + AGE : 26 ans et toutes ses dents + AGE : 32 + RUMEURS : 1115 + LIVRES STERLING : 465 + DATE D'INSCRIPTION : 11/09/2014
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. Mar 25 Nov - 22:08 | |
| Va falloir que t'arrêtes de faire des persos qui me donnent envie de rp avec toi Ce perso tue tout et j'ai tellement hâte qu'on rp notre lien Je veux un rp avec toi, t'as pas le choix welcome to london - wilkommen, bienvenue and welcome - Félicitations, tu viens de rejoindre I don't even know myself at all ! Tu peux dès à présent te balader sur le forum et prendre tes marques. Tu peux donc désormais te recenser dans le registre des registres qui récapitule la liste des logements, la liste des métiers et le bottin des avatars. Une fois que tu as fait ça, il est temps pour toi de te lancer dans la gestion de ton personnage en créant ta fiche de liens, ton téléphone portable et ton instagram. Attention, il est important de créer son téléphone car London Eye y fera des apparitions pour mieux se jouer de toi. Si tu as besoin d'un lien ou d'un personnage en particulier, tu as deux parties à cet effet: la foire aux liens et la partie scénarios. Un système de points est mis en place sur le forum, n'hésite pas à te renseigner sur comment gagner des points ou les dépenser De plus, pour rester au courant des actualités du forum, tu devras suivre le sujet breaking news que nous alimenterons régulièrement. Tu pourras aussi te détendre après les cours ou entre les rps grâce à la partie flood et jeux. Tu pourras aussi voter pour le forum dans les topsites. Amuse-toi bien sur le forum et le staff reste à ta disposition si tu as une question ou besoin d'aide |
| | |
| Sujet: Re: firmin/ living in a trailer by the interstate. | |
| |
| | | | firmin/ living in a trailer by the interstate. | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |