| | s. wright ☆ ne jamais s'avouer vaincu | |
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Samantha Wright + AGE : elle reste jeune et pleine de vie même si elle est âgée de trente-quatre ans... + RUMEURS : 24 + LIVRES STERLING : 28 + DATE D'INSCRIPTION : 06/12/2014
| Sujet: s. wright ☆ ne jamais s'avouer vaincu Sam 6 Déc - 19:25 | |
| | Samantha Wright « les apparences seront toujours trompeuses... »
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house of lies « Pour être hanté, nul besoin de chambre, nul besoin de maison, le cerveau regorge de corridors plus tortueux les uns que les autres. » ― Emily Dickinson
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Samantha Wright + AGE : elle reste jeune et pleine de vie même si elle est âgée de trente-quatre ans... + RUMEURS : 24 + LIVRES STERLING : 28 + DATE D'INSCRIPTION : 06/12/2014
| Sujet: Re: s. wright ☆ ne jamais s'avouer vaincu Sam 6 Déc - 19:26 | |
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Because there was you, I could get strong.
Le plus grand bien que vous puissiez faire à quelqu'un, ce n'est pas de partager vos richesses avec lui mais de lui révéler les siennes. ― Benjamin Disraeli
Une pluie torrentielle s’abattait dans les rues de la ville surnommée la Grande Pomme. Au travers de la grande vitre, la vue de plusieurs habitants accélérant leurs pas pour réussir à avoir un métro afin de chercher à temps leurs enfants à l’école, ou pour arriver à l’heure à leur travail, arrachait un fin sourire sur mes lèvres. J’appréciais cette vue d’une ville réactive, ne se reposant pas sur ses lauriers. Voir ces habitants vivre à cent à l’heure, ne se souciant pas de quoi serait fait le lendemain… Était-ce une bonne façon de prendre la vie ? Devions-nous la prendre telle qu’elle l’était ? C’était possible… Chacun était libre de vivre au jour le jour ou de planifier chaque journée pour qu’elle ne puisse se ressembler et ainsi éviter de tomber dans une sphère infernale avec une routine à en faire déprimer plus d’une personne… Profiter de quelques instants de répit était nécessaire si je devais contenir mon humeur et ne pas exploser face à mon rédacteur-en-chef. J’ignorais ce qu’il avait en ce moment, mais il était insupportable et ne cessait de demander à ses employés plus d’efforts que même lui ne pourrait fournir. Était-il dans un de ses mauvais jours ? Si c’était le cas, il devrait vachement réfléchir à l’idée de laisser ses malheurs de côté et de ne pas nous affliger ce traitement… L’appréciais-je ? Il était un excellent journaliste, j’admirais son travail accompli jusqu’ici et il gérait assez bien son quotidien. Il n’y avait pas une question d’appréciation à son égard… Tout ce que je voulais était qu’une geste du ciel puisse tomber et lui donner la bonne grâce de nous laisser tranquille… Cela avait, quasi, été un parcours du combattant pour me rendre dans cette pièce… Ce n’était même pas mon bureau qui plus est… Juste une pièce occupée, initialement, par l’un de mes collègues absent pour cause de maladie. Une pièce assez loin du bureau du rédacteur et m’y retrouver ici faisait du bien. Je pouvais m’évader, m’occuper l’esprit, mais surtout me concentrer… Face au tumulte de la salle principale de rédaction, il était souvent compliqué d’avoir une concentration optimale pour obtenir un travail impeccable. De temps en temps, j’avais ce besoin incessant de me retrouver seule et de travailler dans un silence les plus complets… Travailler dans un silence où seules les touches de l’ordinateur seraient source de bruit… J’aimais cette ambiance et ne m’en lasserais guère… Un dernier regard sur l’extérieur, sur la rue située en face de l’immeuble avant de détourner les talons pour regagner le siège qui n’était pas le mien. Un tournant qui vient m’offrir un léger sursaut. Ce n’était pas mon jour de chance, je devais laisser m’en convaincre… « Que faites-vous ici ? Cela fait près d’une demi-heure que je vous cherche ! Ce n’est pas mon boulot de partir à la recherche de mes… » Je ne pouvais m’empêcher de rouler légèrement des yeux. Une main posée contre ma poitrine, à l’endroit même où mon cœur faisait ses battements, je la fis glisser avant de croiser mes bras et de regarder mon patron. « C’était le seul endroit dans lequel je pouvais travailler en toute tranquillité… Savez-vous à quel point il est difficile, pour des personnes aussi investies dans leur travail telles que moi, de pouvoir se concentrer ? Si vous voulez bien quitter ce bureau, chef, je vous en remercierais… » Finissant par prendre place derrière ce siège ergométrique, mes yeux se posèrent sur l’écran de mon ordinateur portable. Mais, je n’avais guère eu le temps de poser mes doigts au-dessus des touches… « Je ne suis pas venu vous voir, vous chercher pour parler de votre travail, mademoiselle Wright… » Surprise, intriguée, mes sourcils se fronçaient, un œil levé vers le rédacteur-en-chef. « Quelle est donc cette raison, chef… ? » Je ne savais pas pourquoi, mais mon cœur s’était… stoppé durant plusieurs secondes. L’expression affichée sur le visage de l’homme situé, à présent, en face de moi, assis juste devant moi, me faisait me poser des questions. Quelque chose n’allait pas… Quelque chose avait dû se passer… « J’ai reçu un coup de téléphone de l’hôpital… L’infirmière n’avait pas réussi à vous joindre – vous devriez d’ailleurs vérifier régulièrement votre portable ou simplement le mettre sur mode vibreur – et en sachant par votre père l’endroit où vous travailliez… » Je pris une petite inspiration, ne quittant mes yeux de lui. « Chef… » Ses mains s’étaient rapprochées des miennes… Je ne voulais pas le toucher et mes mains se reposaient, à présent, sur mes cuisses. « Votre mère a eu un grave accident de la route… Je suis désolé, Samantha… » Je n’avais pas voulu en croire mes oreilles. Ce qu’il m’avait dit n’était pas possible… Et pourtant… Dès qu’il m’avait appris cette nouvelle, je l’avais quitté rapidement, le laissant seul dans le bureau, prenant mes affaires avant de quitter le journal et de me jeter à l’intérieur de mon véhicule pour aller à l’hôpital. Sur le chemin, j’avais essayé de contenir mes larmes. Je n’avais pas de confirmation et je m’obstinais à vouloir croire, espérer que la seule femme que je n’ai jamais autant aimé au monde puisse continuer de vivre… Apercevoir son sourire, ressentir sa chaleur lorsqu’elle me serre dans ses bras, entendre sa douce voix… Elle était forte… aussi forte que moi je puis l’être… Je voulais croire qu’elle était encore en vie… Il le fallait… Néanmoins, ce fut en arrivant à l’hôpital, en me précipitant vers la salle où elle était censée être que le monde s’était mis à s’effondrer… Voir mon père dans un tel état… pleurer à chaudes larmes… J’avais compris… En silence, je me suis rendue vers lui, me réfugiant dans ses bras. A cet instant, plus rien ne comptait. Le monde s’éloignait de nous. Une lumière venait de s’éteindre pour rejoindre un monde paisible… Cette même lumière dont la lueur faiblissait dans le creux de mon cœur… Plus rien ne serait jamais pareil à présent… *** « Vous voulez rire, j’espère ? J’ai été la première sur les lieux ! J’ai vu ce qui s’est passé… enfin, j’ai vu les dégâts, je n’étais pas présente quand l’explosion a retenti… Tout ça pour dire que vous ne pouvez pas me retirer l’affaire et donner à ce petit crétin de seconde zone ! » La colère ne s’entendait guère dans le son de ma voix. C’était de l’énervement, et le regard lancé au chef ou encore à « mon » collègue exprimait bien le fond de ma pensée. Je n’étais pas du genre à me laisser marcher sur les pieds. Cette affaire, elle m’était personnelle… Cela faisait plusieurs mois que j’avais perdu ma mère, et quelques semaines plus tard, ce fut une autre personne, ou plusieurs, qui avait perdu sa famille dans cette explosion. Je n’avais pas été loin d’un des quartiers résidentiels de Londres lorsque j’ai entendu un énorme bruit, senti un petit tremblement sous les roues de mon véhicule. Je m’étais vivement arrêtée en passant, ensuite, ma tête à travers l’entrebâillement de la porte du conducteur pour observer les alentours… Quelques personnes courraient, criaient. Des questions se formaient dans mon esprit. Je n’étais plus assise à l’intérieur de ma voiture. Talons au contact du sol, je m’étais mise à courir pour m’approcher du sujet de cette explosion. Et quand j’y suis arrivée, constatant les dégâts, j’avais éprouvé du mal à ravaler mes larmes. La vue qui m’était offerte : tout simplement horrible, désastreux… « J’ai toujours apprécié votre façon de vous exprimer, Wright… C’est si profond… On ressent que ça vient des tripes… Cependant, je vous retire cette affaire pour que vous vous chargiez d’une autre plus importante encore… » J’avais voulu mettre un mot, ou plusieurs, mais je n’en avais pas eu l’occasion… « Des témoins pensent avoir vu des hommes kidnapper de jeunes enfants et Dieu seul sait ce qu’ils comptent leur faire… Parmi mes journalistes, vous faites partie de ceux qui sont capables de mener une parfaite enquête… Allez-y et je ne veux pas de discussion ! » Mes lèvres s’entrouvraient pour prononcer quelque chose, mais je finissais par les refermer et à détourner les talons en ne taisant pas un soupir d’agacement. Cependant, j’avais plus d’un tour dans mon sac. J’étais une femme obstinée et quand je voulais quelque chose, j’employais tous les moyens possibles et inimaginables pour l’obtenir. Ce dossier, il allait être à moi. J’y tenais. Cette affaire de kidnapping était inquiétante et j’allais découvrir le fin mot de cette histoire… *** L’odeur d’un soufflé au chocolat tout juste sortie du four parsemait la pièce centrale de cet appartement : le salon. Des articles de journaux étaient éparpillés sur la table basse, des boules de papier faisaient la décoration du sol… Un travail de réflexion avait été entamé et une pause gourmandise allait faire son entrée… Finir par me lever de ce canapé pour sortir le soufflé du four et me jeter dessus pour le dévorer, savourer chacune des saveurs qui s’en extirpaient. Deux années s’étaient écoulées… Deux années durant lesquelles la police n’avait pas encore retrouvé l’auteur de cette explosion qui avait coûté la mort d’une mère et de ses deux enfants. Quelque chose me disait qu’il s’agissait d’une attaque terroriste… Cela n’entrait pas dans mes attributs d’apporter des conclusions hâtives, mais un tel événement était étrange, inexpliqué… Quelles sont les personnes qui chercheraient à tuer une simple famille ? C’était un acte délibéré, cela se voyait assez bien. Dans les séries télévisées, les forces de l’ordre possédaient toujours un train de retard et arrivaient quand la situation s’était stabilisée… Dans cette vie-ci, la police n’avait même pas réussi à trouver la seule personne, ce seul homme qui avait assisté à cette explosion. Une silhouette… Je ne cessais de la regarder, mais je n’avais aucune réponse… Après tout, les illustrations ne nous parlaient pas… Comment avais-je obtenu cette photo ? En « empruntant » le dossier de l’affaire auprès des inspecteurs qui s’en occupaient… Du moins, j’ai été aimable et en ai fait une copie, l’original resté chez eux. Je ne voulais pas attirer les soupçons et je souhaitais faire avancer cette affaire qui n’était pas résolue… Cela semblait pourtant l’être pour l’autorité et c’était pour cette raison que mon employeur n’avait plus voulu entendre parler de cette histoire. Néanmoins, à côté de cela, j’avais pris la décision de continuer d’enquêter là-dessus. J’étais inconsciente du temps que cela pourrait prendre, mais cette histoire était poignante, intense, me touchait en plein cœur. Je n’en faisais pas une affaire personnelle, mais il fallait retrouver l’auteur d’un tel acte, l’arrêter et le lui faire payer… Rien de tel qu’un bon grand verre de lait pour accompagner un dessert au chocolat. C’était délicieux et je n’avais guère pu m’empêcher de laisser échapper un gémissement de pur plaisir d’entre mes lèvres une fois que j’eus une bouchée de ce soufflé à l’intérieur de ma bouche. Les criminels ne se reposaient pas sur leurs lauriers pour faire sévir leur cruauté à une poignée de citoyens… Malgré tout, je m’accordais un petit instant de répit pour reprendre des forces, tout en regardant, observant, lisant les documents situés sous mes yeux. Une autre explosion avait fait la une de plusieurs journaux… Près de la tamise, les autorités avaient trouvé un homme recherché pour terrorisme, deux personnes portées disparues, un corps non identifié… Des analyses d’empreintes ADN semblaient être en cours… Je devrais me rendre à l’équipe scientifique qui se chargeait de cette affaire-là… Il y avait un élément qui m’intriguait… A chaque fois que je regardais le contenu du dossier, mes yeux étaient attirés vers une photo sur laquelle trois roses blanches se reposaient aux côtés des corps respectifs de la mère et des deux enfants. Plus je la regardais et plus je me demandais si l’auteur de ces placements floraux n’était pas un proche des défuntes… Et si c’était le cas, je ne parvenais pas à me mettre à sa place… Du moins, je le pourrais, mais quelque chose me disait que ce serait assez douloureux de ressentir la souffrance que ressentirait cette dite personne… Je laissais mon dos se reposer lourdement contre le dossier du canapé. Les premiers signes de sommeil faisaient leur arrivés et au vue de l’heure qui s’affichait sur l’horloge… Cela n’allait pas m’arrêter. Continuer d’éplucher, de relire, de revoir chaque papier, chaque document, chaque photo… A chaque fois, j’avais la sensation d’avoir manqué une information capitale… Cela allait devenir une fixation, je le réalisais… Si cette fixation, quasi obsession pourrait m’aider à retrouver cet homme, dans un premier temps, j’aurai déjà franchi un grand pas vers l’avenir… *** « Allez ma jolie, une petite danse, rien que tous les deux… Je suis convaincu que tu apprécieras énormément… » Cet homme était assez entreprenant. Pour faire plaisir à quelques-uns de mes ami(e)s, j’avais décidé de les rejoindre au sein d’un bar alliant une salle de jeu et un petit espace de danse… L’endroit était particulier, mais je n’avais été attirée que par l’emplacement du billard. A l’époque du lycée, j’adorais sortir de chez moi et me rendre dans le domicile de ma meilleure amie pour y faire quelques parties. Nous passions toujours d’excellents moments que je ne pourrais guère changer. Et être interpellée par cet individu… Je jouais la carte de l’ignorance, préférant me concentrer sur mon jeu. Ce dernier insistait, se rapprochait, touchait mon bras… Je roulais des yeux, essayant de ne pas perdre mon calme, pour son bien… Je ne voulais pas lui faire mal, je reste gentille tout de même… « Abandonne ce bâton et viens me rejoindre… » J’exécutais. Je laissais tomber ma partie de billard qui était, de toute évidence, terminée depuis quelques minutes déjà. Je me tournais vers l’homme, le regardais presque avec insistance, l’observant de très près. Lui adressant l’un de mes plus beaux (mais faux) sourires, je pris le chemin de facilité et venais lui asséner un coup, à l’abri des regards indiscrets, dans les parties intimes de l’interpellant… « J’ai décidé de te faire une fleur… C’est la dernière fois que tu t’approcheras de moi. Si tu venais à ne pas respecter ça, ce sera pire la prochaine fois… » Samantha Wright était une jeune femme déterminée, indépendante, forte et qui ne se laissait aucunement marcher sur les pieds. C’était ce que j’étais. Je n’étais pas la réplique parfaite de la magnifique sorcière qu’était Samantha Stephens, l’héroïne favorite de ma mère, mais je m’aimais ainsi… Durant toute ma vie, je me suis battue pour ne pas être sous l’emprise d’un homme. Une femme ne devait pas l’être. Elle possédait cette force pour faire face à tous les obstacles que la vie pourrait mettre sur son chemin. Cette force, elle peut la trouver si elle désire réellement la posséder. Certaines choisissaient d’être l’objet de l’homme, d’autres étaient comme moi, d’autres trop faibles pour résister à la gente masculine… Devenir journaliste m’aidait à avoir davantage d’assurance. J’en avais besoin pour être la femme que j’étais aujourd’hui. Délivrer la vérité aux citoyens, délivrer une vérité que d’autres journaux hésiteraient à fournir… Partir à la recherche de nouveaux scoops, pour ensuite apporter ce fruit à cet arbre qui continuait de fleurir ses graines, en l’occurrence, ses employés au sein de son journal… L’histoire de la vie de mademoiselle Wright ne faisait que commencer et vous êtes les heureux élus pour suivre sa vie… en direct…
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J. Grace Henessy + AGE : 26 ans et toutes ses dents + AGE : 31 + RUMEURS : 1115 + LIVRES STERLING : 465 + DATE D'INSCRIPTION : 11/09/2014
| Sujet: Re: s. wright ☆ ne jamais s'avouer vaincu Sam 6 Déc - 19:32 | |
| Bienvenue sur HOL et bon courage pour ta fiche Si tu as le moindre souci, n'hésite pas à nous contacter par mp et n'oublie pas d'envoyer ton secret par mp à London Eye pour qu'on s'y retrouve Très très bon choix d'avatar et j'aime énormément ton pseudo! |
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Samantha Wright + AGE : elle reste jeune et pleine de vie même si elle est âgée de trente-quatre ans... + RUMEURS : 24 + LIVRES STERLING : 28 + DATE D'INSCRIPTION : 06/12/2014
| Sujet: Re: s. wright ☆ ne jamais s'avouer vaincu Sam 6 Déc - 19:34 | |
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J. Grace Henessy + AGE : 26 ans et toutes ses dents + AGE : 31 + RUMEURS : 1115 + LIVRES STERLING : 465 + DATE D'INSCRIPTION : 11/09/2014
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Samantha Wright + AGE : elle reste jeune et pleine de vie même si elle est âgée de trente-quatre ans... + RUMEURS : 24 + LIVRES STERLING : 28 + DATE D'INSCRIPTION : 06/12/2014
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B. Feather Underwood + AGE : elle a vingt deux ans. + RUMEURS : 583 + LIVRES STERLING : 118 + DATE D'INSCRIPTION : 11/09/2014
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Samantha Wright + AGE : elle reste jeune et pleine de vie même si elle est âgée de trente-quatre ans... + RUMEURS : 24 + LIVRES STERLING : 28 + DATE D'INSCRIPTION : 06/12/2014
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Robyn V. Powell + AGE : 24 ans + RUMEURS : 583 + LIVRES STERLING : 269 + DATE D'INSCRIPTION : 20/10/2014
| Sujet: Re: s. wright ☆ ne jamais s'avouer vaincu Sam 6 Déc - 22:18 | |
| Bienvenue sur HOL Bon courage pour ta fiche avec la jolie Scarlett ! Si tu as besoin n'hésites pas |
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Denytsa A. Wilkins + AGE : Twenty-two years old. + AGE : 31 + RUMEURS : 58 + LIVRES STERLING : 50 + DATE D'INSCRIPTION : 25/11/2014
| Sujet: Re: s. wright ☆ ne jamais s'avouer vaincu Dim 7 Déc - 16:23 | |
| Bienvenue parmi nous avec cette excellent choix, bonne chance pour ta fiche. |
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Aidan M. Collins + AGE : 23 ans + AGE : 32 + RUMEURS : 49 + LIVRES STERLING : 67 + DATE D'INSCRIPTION : 22/11/2014
| Sujet: Re: s. wright ☆ ne jamais s'avouer vaincu Dim 7 Déc - 17:06 | |
| Bienvenuuue |
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Samantha Wright + AGE : elle reste jeune et pleine de vie même si elle est âgée de trente-quatre ans... + RUMEURS : 24 + LIVRES STERLING : 28 + DATE D'INSCRIPTION : 06/12/2014
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Columbia F. Lively + AGE : elle a vingt et un an. + RUMEURS : 202 + LIVRES STERLING : 189 + DATE D'INSCRIPTION : 17/10/2014
| Sujet: Re: s. wright ☆ ne jamais s'avouer vaincu Lun 8 Déc - 14:42 | |
| perfecto je te valide amuses toi bien welcome to london - wilkommen, bienvenue and welcome - Félicitations, tu viens de rejoindre Family Portrait ! Tu peux dès à présent te balader sur le forum et prendre tes marques. Tu peux donc désormais te recenser dans le registre des registres qui récapitule la liste des logements, la liste des métiers et le bottin des avatars. Une fois que tu as fait ça, il est temps pour toi de te lancer dans la gestion de ton personnage en créant ta fiche de liens, ton téléphone portable et ton instagram. Attention, il est important de créer son téléphone car London Eye y fera des apparitions pour mieux se jouer de toi. Si tu as besoin d'un lien ou d'un personnage en particulier, tu as deux parties à cet effet: la foire aux liens et la partie scénarios. Un système de points est mis en place sur le forum, n'hésite pas à te renseigner sur comment gagner des points ou les dépenser De plus, pour rester au courant des actualités du forum, tu devras suivre le sujet breaking news que nous alimenterons régulièrement. Tu pourras aussi te détendre après les cours ou entre les rps grâce à la partie flood et jeux. Tu pourras aussi voter pour le forum dans les topsites. Amuse-toi bien sur le forum et le staff reste à ta disposition si tu as une question ou besoin d'aide |
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| Sujet: Re: s. wright ☆ ne jamais s'avouer vaincu | |
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| | | | s. wright ☆ ne jamais s'avouer vaincu | |
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