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 nous sommes des voyous, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement { feat Opale

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A. Elias Blackwell

A. Elias Blackwell
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MessageSujet: nous sommes des voyous, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement { feat Opale   nous sommes des voyous, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement { feat Opale EmptyLun 24 Nov - 21:03

Nous sommes des voyous, c'est comme ça qu'on dit tout simplement.

- Fauve

Novembre 2014

Opale & Elias

rp en cours/fini
météo et heure du rp : En pleine nuit, une nuit claire, peut-être une pleine lune vu l'état des deux jeunes gens.

résumé du rp : Une première rencontre entre deux jeunes qui pensent s'opposer alors qu'ils sont bien plus semblables que ce qu'ils ne peuvent encore l'imaginer. Un premier abord difficile, tendu, explosif, qui promet quand même de belles perspectives...
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A. Elias Blackwell

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MessageSujet: Re: nous sommes des voyous, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement { feat Opale   nous sommes des voyous, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement { feat Opale EmptyLun 24 Nov - 22:32



   
   Opale & Elias
   nous sommes des voyous, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement.

O
n a tous notre part de mystère, notre part d’ombre que l’on préfère garder secrète aux yeux de tous, pour telles ou telles raisons. Ne niez pas. Je vous défie de trouver quelqu’un qui n’a rien à cacher, c’est statistiquement impossible, bien que je n’y connaisse strictement rien en statistique. Même Kate Middleton a quelque chose de moyennement avouable dans son passé, j’en mettrais ma main au feu. Pourquoi est-ce que je vous dis tout ça ? Pourquoi est-ce que je vous fais un discours sur le mystère et les vices cachés ? Parce que je suis, ce soir, ou plutôt cette nuit, en train de satisfaire un de mes vices, plus tellement caché depuis le jour où mes parents m’ont découvert étalé dans le salon après m’être enfumé à je ne sais même plus quoi. Je suis dépendant, drogué, addict, junkie, appelé ça comme vous voulez mais toujours est-il que cela me fait un bien qu’aucun humain ne pourrait me faire, croyez moi. Ce besoin d’oublier, ce besoin de se construire un paradis artificiel, ce besoin de se sentir pousser des ailes rien en une respiration. C’est tellement libérateur. Je me retrouve donc ici, assis sur le muret qui trône à quelques pas de l’entrée de mon immeuble, dans la pénombre d’une petite ruelle, fumant mes quelques bouffées d’oxygène personnelle qui m’aideront à repartir du bon pied demain. Pourquoi dehors ? Parce que c’est une des règles établit avec Aaron. La colocation avec un frangin, aussi officieuse soit la relation fraternelle, n’est pas toujours évidente et chacun doit mettre du sien pour accepter la liberté de l'autre. Enfin bref, c'est établit, c'est ainsi et même si l'envie me prend de lâcher prise à trois heures du mat, je dois le faire dehors. Mais ce n'est pas plus mal, celà aère l'esprit dans tous les sens du mot. D'autant plus que ce soir, il me semble que je vais avoir de la compagnie. Quel genre ? Le genre de compagnie qu'on attend pas, le genre de compagnie que peut apporter une voisine aux allures glaciales et mystérieuses qui perd toutes crédibilités quand elle prend quelques verres d'alcool dans le nez. A en juger par la musique qui sort de la fenêtre se trouvant dans l'immeuble  quelques pas du mien, les jeunes qui squattent devant et cette petite brune qui déambule au milieu de la rue, je pense ne pas me tromper beaucoup. Elle déambule tellement qu'au lieu de rester sur le pas de son immeuble, elle finit devant le mien. Erreur d'inattention qui arrive à tout le monde ou erreur alcoolisée ? Bonne question. Cette jeune femme m'a toujours intriguée. Je vis maintenant ici depuis presque deux ans et malgré nos âges visiblement très proches, elle n'a jamais osé croiser mon regard franchement. Quelque chose à cacher ? C'est le soir ou jamais de le découvrir. Une fois les effets de mon paradis artificiel estompé, je me mets en tête d’aller à la rencontre de la demoiselle, demoiselle qui a à présent trouvé domicile sur les marches qui bordent mon immeuble. Un besoin d’être seule ou un besoin de décuver ? Comptez sur moi pour le découvrir assez vite. « On ne s’est pas croisé souvent mais je ne crois pas que t’habites là. Opale c’est ça ? » Je crois bien avoir entendu un des jeunes un peu plus loin prononcer ce nom dans un cri de détresse alcoolique, crie auquel elle n’a pas répondu mais qui lui était forcément destiné. Moi et mes airs d’éternel ado, dans mon jogging trop large, mon sweat à capuche et ma casquette, restent plantés face à elle, ne la lâchant pas des yeux, tentant par tous les moyens de croiser et de capter enfin son regard.  
WILDBIRD
 
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Opale A. Evans

Opale A. Evans
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MessageSujet: Re: nous sommes des voyous, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement { feat Opale   nous sommes des voyous, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement { feat Opale EmptyMer 26 Nov - 0:20



❝voyous❞
Elias & Opale

néons qui explosent, pensées qui décollent. toute cette fureur en un même lieu, cette rage de la jeunesse qui leurs prends aux tripes et les animes d'une vie indomptable.
ils sont tous des indomptés. des putains de fauves qui bouillent, bouillent, pareilles aux frémissements d'un volcan.
et il y a la lave qui s'en écoule. cet achèvement destructeur d'une hargne éternelle. tu es la lave, opale.
tu es un tout en combustion, un être de flammes, une âme embrasée.
tu penses plus vraiment à rien, si ce n'est à la chaleur de ton corps qui explose. à tes membres qui craquent sous la pression des jeux de ton corps. tu fermes les yeux, tu fermes les yeux et tu rêves.
tu rêves de paix, de silence et de cette mer calme, paisible. seule.
si seule, trop seule. un songe éveillé, rythmé par les condensés de la musique qui résonne au loin, au travers ton esprit, au travers ton être qui tambourine de toute cette ferveur naissante.
des heures s'écoulent, des heures troubles, des heures sueurs. ça cogne dans ta tête, ça fait des vagues dans ton âme.
tu n'es qu'un océan en fureur, ces marées qui s’enchaînent.
et tu as mal, toujours mal. de cette douleur de la vérité, cette vérité incontesté qui te ronge, grignote ton humanité, ta si belle humanité.
cette faible lueur clignote à la façon d'une lumière désaffecté.
mais. personne ne pourra jamais te réparer, opale.
t'es qu'un jouet brisé, un jouet cassé.
t'es qu'une poupée de cire, une poupée de verre.
personne n'a pris le soin de te déballer de ton paquet, pourtant, tu es déjà toute rouillée. intérieurement, extérieurement.
tu expires le soupir des ferrailles qui s'épuisent. tu expires ce soupir d'une vie, ce soupir qui dis désincarnée.
tout comme ta peau, marquée au fer rouge. tout comme tes pensées agitées, qui ne cessent de te répéter. que t'es désincarnée, opale.
mais, n'as-tu jamais été incarnée ?
as-tu une âme ? un cœur ? es-tu ?

il y a toutes ces questions qui te vrillent la tête, comme des tambours de fanfares explosant à tes oreilles. tes cheveux collent la peau de ton visage, et toutes ces mains qui t'enserrent, et tous ces regards qui t'étranglent.
tu brûles, opale. tu brûles.
seule la fraîcheur des matins parviendra à apaiser tes plaies béantes, tes plaies rouges sang.
alors, tu les repousses de tes doigts, de tes bras, de ton corps. tu te fonds parmi ces êtres à l'acmé de leur jouissance.
ton esprit déraille, ton corps s'écroule.
tu sais pas pourquoi tu fais ça, tu sais jamais pourquoi.
ton instinct te guide, ton instinct te hurle d'oublier.
oublie tout, oublie cette couleur éclatante. abandonne là à tes souvenirs, à l'amnésie de ton existence.

et. soudainement.
la lune éclaire ton visage et rafraîchie ton âme. cette légère brise de la nuit vient frôler ta peau, doucement, doucereusement, de cette délicatesse infinie.
tu déambules entre les rues, les bruits sourds de la soirée s'éteignant au rythme de l'affolement de ton cœur.
tu ressens l'envie de pleurer, de hurler. et de t'effondrer sur le sol. inconsciente. ou morte.
tu sais jamais laquelle choisir. la vie, la mort.
mais, tout ne repose pas sur ces fatalités.
rien ne repose sur ces fatalités.
c'est à toi d'en décider.
alors, tu vagabondes parmi les ombres pareille à un spectre des étoiles. tu vagabondes entre les incertitudes d'un monde qui donne et qui reprend.
tu te sens fausse, fausse comme les rayons du soleil venant caresser ton visage avant les rafales d'une tempête. fausse comme ces sourires en déferlantes qui inondent les ruelles trop étroites de londres.
fausse comme ces voix qui hurlent ton prénom, au loin, trop loin.
des échos qui se répètent, des infinis plus vastes que d'autres.
t'es plus vraiment toi même.

mais, l'as-tu jamais été ?


tu entends pourtant cette voix, cette légère difformité, cette démarcation, cette réalité. tu la perçois, tu la vois, tu peux la toucher. elle est là, sous tes yeux. mais, tu ne peux pas. tu ne peux jamais regarder qui que ce soit dans les yeux.
cela te tuerait, entraverait ton cœur, te dévasterait d'une souffrance accrue par les remords de quelques actes pitoyables, amassés sur les bords de tes routes.
tu trouves du plaisir à croire, qu'un jour, un jour, ton passé, ton présent et ton futur seront blancs comme la neige scintillant sous les dorures du soleil.
tu sens son regard qui t'appelle. ce besoin lacérant de le regarder, de croiser son regard.

mais, tu es forte, opale.
personne ne peut te prendre, personne ne te prendra.


tu sais qui il est, du moins, tu penses l'avoir entrevu, du haut de ton palais d'argent. le voisin, ce voisin.
tu ne le regardes pas, tu te contentes de t'asseoir sur le trottoir d'une démarche maladroite, contemplant le ciel, ce ciel si noir, ce ciel qui ne ment pas.

et si les galaxies elles mêmes mentaient ? si rien de tout ça n'était là.
si tu n'étais pas vraiment là, opale ? opale et tes remords. opale et ta rage. opale et ton blizzard.

tu te tournes vers lui, sans abandonner tes yeux dans les siens. tu lui souris, tout simplement.
l'art du sourire, l'art du mensonge.
ce sourire triste qui pleure, ce sourire si fade, si sombre qui pèse sur ta conscience.

tu voudrais le regarder, tu voudrais toucher de tes yeux sa peau, les pores de son visage, la moindre expression de ses traits tirés par les émotions si futiles des Hommes.
mais, tu peux pas. tu as cette étrange sensation de vide, cette sensation de danger.
tu le sais. si tu le regardes, ce sera la fin du monde, tel que tu le connais.

alors, tu restes sur le trottoir. à contempler les étoiles. et puis, tu parles, soudainement, tu brises les silences de la nuit. sans vraiment répondre à cet ange des ténèbres. tu conserves ce masque d'illusion qui te façonne, qui te transforme.

" demandes aux comètes, elles te répondront. "

© Pando
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A. Elias Blackwell

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MessageSujet: Re: nous sommes des voyous, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement { feat Opale   nous sommes des voyous, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement { feat Opale EmptyVen 28 Nov - 22:58



   
   Opale & Elias
   nous sommes des voyous, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement.

E
lle ne me regarde pas. Non c'est pas vrai, elle ne me regarde pas. Elle veut me le faire croire mais c'est faux. Tout aussi faux que son sourire. Ses yeux sont tournés dans ma direction mais son esprit ne m'accepte pas, je le vois, je le ressens. Je pourrais presque voir le fond de ses pensées tellement son regard est transparent. Transparent mais pas limpide. Transparent certes mais en y réfléchissant bien, même si j'arrivais à voir à l'intérieur je ne verrais que du vide, car c'est la seule chose qu'elle veut bien laissé paraitre. Une fin de soirée difficile ? Une mauvaise assimilation des substances plus ou moins licites qu'elle a pu ingérer ce soir ? Non ce n'est pas ça, il y a autre chose. Les drogués je les connais, je les pratique, je les cotoie. J'en fais parti. Et ça ne ressemble pas à ça. Elle, elle ressemble à ces filles qu'on voit dans les films d'exorcisme, en plus jolie je dois bien l'avouer. Vous savez ces jeunes femmes qui effraient par le vide que l'on peut lire dans leurs yeux, leurs sourires transperçants et leur âme qui semble être dirigée par quelqu'un d'autre. Oui c'est ça. Assise sur ces marches, feignant de me regarder, elle ressemble à une femme qui n'a pas conscience de qui elle est. Est-ce pour ça qu'elle me demande de poser la question aux comètes ? Parce qu'elle serait incapable de me répondre elle même ? Qui est elle ? Le sait-elle vraiment ? Cette fille m'intrigue, me captive, met en ébullition mes sens et mes neurones.


" Comment je l'ai su à ton avis ? Je n'suis pas devin, je parle juste aux comètes. Tout le monde sait que les médiums c'est des conneries. " rétorquais-je à la jeune femme avec une ironie flagrante. Elle a l'air d'aimer jouer les mystérieuses, d'aimer lancer des petites messages codés, d'aimer se faire désirer, se faire comprendre, servir de sujets d'études d'un philosophe moderne. Autant dire qu'elle est tombée sur le bon voisin. Involontairement certes. Remercions le destin. " Ce sont elles qui t'ont amené ici ? Ou juste le besoin de t'éloigner d'une soirée un peu trop.. normale, avec des gens un peu trop normaux, que tu regrettes déjà d'avoir organisée ? " Oui je la provoque, oui je lui dis clairement qu'elle n'est pas normale,  oui je veux la faire réagir quitte à ce que ça se traduise par une empreinte de ses doigts fermement imprimée sur ma joue. Je n'ai rien à perdre, peut-être rien à gagner certes mais j'ai l'intime conviction qu'elle vaut le coup, qu'elle cache quelque chose de précieux au fond d'elle, quelque chose qui peut paraitre étrange quand on l'aperçoit de loin, en pleine journée, déambulant dans la rue, mais quelque chose qui parait tellement signifiant quand son regard croise le votre, aussi furtivement soit il. Je finis par m'asseoir à ses cotés, sur ces marches, devant l'entrée de mon immeuble. Un rapprochement physique, comment va-t-elle le vivre ? Une femme qui parait si distante, je pense pouvoir m'attendre à tous types de réactions même si en soi je ne l'a même pas touchée. L'attrait pour l'inconnu, le mystère, la surprise, c'est peu-être ça qui me fait m'asseoir ici à ce moment précis. Des arrières pensées peu catholiques ? Loin de là, vous faites fausse route. J'aurai réagi exactement de la même manière si celà avait été un jeune homme en détresse, comme je l'ai d'ailleurs fait pour Théophile, ce jeune totalement paumé, en recherche d'un exemple à suivre. Pas sur qu'il est choisi le meilleur je vous l'accorde, mais toujours est-il que j'ai porté autant d'attention et de curiosité à son égard que ce quue j'en porte à Opale cette nuit. Et je vous jure que je ne fantasme absolument pas sur Théo ! Mon visage se tourne vers elle après quelques secondes de silence complet. Pas beaucoup, juste quelques unes qui me paraissent interminables quand je suis dans l'attente d'une réponse. Curieux, intelligent, perspicace si vous voulez, mais j'ai du mal avec l'ignorance,dans tous les sens du terme. " Y'a pas beaucoup d'étoiles ce soir, je crois que tu vas devoir me répondre toi même... "Autrement dit, parles et ne comptes pas sur le fait que je m'en aille sans avoir eu de réponses. Je resterai là toute la nuit s'il le faut. Un DJ, dépendant sur les bords, gère parfaitement les insomnies, croyez moi.
WILDBIRD
 
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